Témoignages de francs-maçons

Un membre de la franc-maçonnerie du DROIT HUMAIN ressemble à Monsieur et Madame « tout le monde » ! C’est peut-être votre voisin, votre frère ou sœur de sang, votre cousine, votre ami, votre collègue de travail, votre soignante, votre commerçant, votre équipier de sport, votre complice de militantisme…

Publié le 16 juin 2023Mise à jour le 30 avril 2024

Sommaire

    Pourquoi cette discrétion ?

    • Certains ne parlent pas ou peu de leur appartenance à la franc-maçonnerie, car, comme d’autres dimensions de leur personnalité (leurs opinions politiques, leurs pratiques religieuses, leur compte bancaire, leur dossier médical, leur sexualité…), cet aspect de leur vie relève de leur intimité, de leur « jardin secret », de leur espace de liberté qu’ils partagent si bon leur semble, quand bon leur semble et surtout avec qui bon leur semble !
    • Aussi, beaucoup de balivernes et d’« infox » sont encore colportées sur les francs-maçons. Certains réseaux sociaux, livres et

      Ouvrage de réponses du DROIT HUMAIN à l’anti-maçonnisme

      magazines regorgent d’inepties, voire d’injures, de diffamations ou d’appels à la haine à leur égard de la part de complotistes, d’extrémistes ou simplement de la part de braves personnes n’ayant jamais fait l’effort de s’informer correctement… Nos rituels et le décorum qui les soutiennent font aussi parfois l’objet de dénigrements et de moqueries pour ceux qui n’en comprennent pas le sens et la profondeur. Ainsi, certains de nos membres rechignent encore à se dire francs-maçons dans l’espace public. Volonté de préserver sa vie privée, difficulté à expliquer sa démarche, indifférence ou incompréhension de son environnement… sont autant de raisons pour eux de rester discrets.

    • Enfin, tous les francs-maçons français gardent en mémoire que, durant la Seconde Guerre mondiale, ils ont été les toutes premières victimes des décisions liberticides du régime de Pétain, tous désignés à la vindicte policière, médiatique et populaire. Dans des pays anglo-saxons (USA, Royaume-Uni…) qui n’ont pas jadis connu ce type d’hostilité à la franc-maçonnerie, les temples ont maintenant pignon sur rue et les membres sont très à l’aise pour revendiquer leur appartenance. Encore aujourd’hui, des régimes peu démocratiques, théocratiques, autoritaires ou dictatoriaux désignent les francs-maçons comme leurs ennemis… Ce qui peut être reçu comme un compliment pour les francs-maçons et leur idéal progressiste de « Liberté – Égalité – Fraternité » appelle cependant à de la prudence dans certains pays. LE DROIT HUMAIN, avec des membres présents dans plus de 60 pays, en sait quelque chose !
    • Pour toutes ces raisons de respect de l’intimité et du confort de chacun, un franc-maçon ne s’autorise donc jamais à dire « qui est franc-maçon », « qui ne l’est pas », si tant est qu’il le sache lui-même pour des membres qu’il n’a jamais croisés de visu dans une loge… En revanche, il dévoilera peut-être lui-même sa propre appartenance à la franc-maçonnerie, si le cœur lui en dit, dans son entourage proche ou publiquement.

    Quelques témoignages personnels

    • Chacun vit son cheminement en franc-maçonnerie de manière très diverse. Ces quelques témoignages de francs-maçons du DROIT HUMAIN en France et à l’étranger sont éclairants sur la variété  des profils et des parcours personnels de nos membres.
    • En demandant à rencontrer nos membres dans la localité de votre résidence, vous aurez un éclairage personnel encore différent !

    Sur la chaîne NTV MEDIA, Alphonse nous parle de la franc-maçonnerie et de son engagement au sein d’une loge nantaise du DROIT HUMAIN. Ce bel interview de 26 mn est consultable en cliquant sur l’image ci-dessous