Événement
Conférence publique
Laïcité, j’écris ton nom !
Samedi 6 décembre 2025 à 14h40
Maison Maria Deraismes – 9 rue Pinel 75013 Paris
Depuis la révolution française de 1789 et son abolition des privilèges – nobiliaires ou ecclésiastiques -, des lois de sécularisation ont permis à la République française d’affranchir l’État de ses liens historiques avec l’Église catholique et de soustraire la société et ses institutions à toute tutelle cléricale.
De telle sorte que la Loi de séparation des Églises et de l’État, promulguée en 1905, fruit de cette évolution historique, devient le texte fondateur du principe de laïcité.
Le 6 décembre 2025, à quelques jours des 120 ans de l’adoption de cette loi majeure, la Commission Droits humains et Laïcité de la fédération française du Droit Humain, proposera dans les locaux de la Maison Maria Deraismes, à 14h30, une table ronde puis un débat autour de Laïcité et Démocratie.
Le Grand Maître National, Maurice Leduc, introduira la conférence.
Interviendront :
- Jérôme GUEDJ, député de l’Essonne,
- Martine CERF, Vice-Présidente de EGALE
(Egalité, Laïcité, Europe) - et le dessinateur humoristique Xavier GORCE, qui commentera à sa manière, en direct, les divers tours et détours des analyses proposées.
S’il existe des liens entre Laïcité et démocratie, de quelle nature sont-ils ? Serait-il nécessaire de les faire évoluer ?
Quelques interrogations :
Les principes démocratiques tels que compris actuellement (en termes de liberté d’expression, de respect des droits et des devoirs républicains fondamentaux, d’égalité de tous devant la loi),
Dossier sont-ils encore perçus comme essentiels et compatibles avec ceux de la laïcité (garantir la liberté de conscience et toutes les libertés individuelles prévues, et ceci, dans le cadre de la loi, ainsi de faire prévaloir la neutralité dans la sphère publique) ?
Les citoyens considèrent-ils toujours comme essentiel ou prioritaire que la République se donne à elle-même sa propre loi au service de la société, de ses membres et du bien commun ?
Sur place ou en visioconférence. Dans les deux cas l’inscription est obligatoire :
